Les graves insinuations de Wolff concernant Verstappen et la FIA

Toto Wolff sous-entend une partialité de la FIA dans les décisions après que Verstappen a évité une pénalité lors du Grand Prix des États-Unis de F1

Lors du Grand Prix des États-Unis à Austin, Toto Wolff, directeur de Mercedes, a secoué le cocotier en mettant en cause l’équité des décisions de la FIA. L’enjeu ? Le traitement de Max Verstappen par les commissaires, comparé à celui réservé à d’autres pilotes, notamment George Russell et Lando Norris. Wolff, sans aller jusqu’à accuser directement la FIA, a laissé entendre que des décisions « biaisées » avaient été prises, semant le doute sur l’impartialité des commissaires dans le paddock.

La frustration de Wolff est née des pénalités infligées à Russell et Norris, tandis que Verstappen, impliqué dans des incidents similaires, a échappé à toute sanction. Russell a été pénalisé de cinq secondes pour avoir poussé Valtteri Bottas hors de la piste. Yuki Tsunoda, dans un autre incident, a reçu une sanction identique pour avoir écarté Alex Albon. Mais lorsqu’il s’agissait de Verstappen, des actions controversées, notamment une manœuvre agressive au premier virage contre Norris et un autre incident en fin de course, sont passées inaperçues.

Alors que Norris a été puni pour avoir repris une position en dehors des limites de la piste, Verstappen, dans une manœuvre similaire mais à son avantage, n’a pas été inquiété. Ce traitement inégal a mis Wolff hors de lui, et il n’a pas mâché ses mots pour exprimer son agacement.

La phrase clé, celle qui a fait naître des murmures parmi les observateurs les plus avertis, est intervenue lors d’une interview accordée à Sky Sports. Interrogé sur ce qu’il percevait comme une incohérence dans la gestion des pénalités, Wolff a laissé planer le doute : « Je pense que nous savons pourquoi, mais je ne peux pas dire cela à la télévision. »

Ces quelques mots, à la fois énigmatiques et lourds de sous-entendus, ont attisé la curiosité des fans et des analystes de la F1. Que sait exactement Wolff ? Pourquoi ne peut-il pas en parler publiquement ? Le patron de Mercedes a, sans accusation directe, laissé entendre qu’il pourrait y avoir des raisons plus profondes à cette supposée partialité. Des raisons qu’il ne pouvait évoquer qu’à demi-mot.

Ce n’est pas la première fois que Wolff exprime son mécontentement face aux décisions des commissaires. En début de saison, des polémiques similaires avaient déjà surgi autour des incidents impliquant Verstappen, la star de Red Bull. Toutefois, cette fois-ci, l’amertume de Wolff semble plus marquée, suggérant que ces « incohérences » dans l’arbitrage pourraient être plus qu’une simple accumulation de coïncidences.

Wolff n’a jamais explicitement mentionné les commissaires dans ses propos, se contentant de souligner qu’il y avait des « corrélations » qui pourraient expliquer ces décisions « intéressantes ». Mais en laissant entendre qu’il pourrait y avoir des facteurs cachés influençant les décisions, il a ouvert la porte à un torrent de spéculations, notamment parmi ceux qui suivent de près les dynamiques internes du sport.

Si Wolff a refusé d’entrer dans les détails, la conclusion de ses déclarations laisse néanmoins entrevoir un problème plus large. Il a admis que les commissaires ont un rôle difficile et que certains d’entre eux « font de leur mieux », mais cela ne suffit pas à calmer les frustrations du patron de Mercedes, qui, à demi-mot, appelle à une enquête plus approfondie.

1 thought on “Les graves insinuations de Wolff concernant Verstappen et la FIA

  1. la paranoïa de mac laren tout le monde triche sauf eux,le mini drs sur leur aileron arrière n’était pas légal , il passent leurs temps à dénigrer les autres équipes il faut
    balayé devant sa porte avant d’accuser les autres !

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