Hamilton snobe ouvertement Ben Sulayem après le GP de Grande-Bretagne

Lewis Hamilton a laissé éclater sa joie après sa victoire à Silverstone. Mais quelques minutes plus tard, il s’est figé lorsqu’il s’est retrouvé face à Mohammed ben Sulayem, président de la FIA

La relation entre Lewis Hamilton et Mohammed ben Sulayem, président de la FIA, n’a jamais été des plus chaleureuses, et leur rencontre après le Grand Prix de Grande-Bretagne l’a une nouvelle fois illustré.

Alors que la joie de la victoire à Silverstone était palpable pour Lewis Hamilton, son premier depuis le Grand Prix d’Arabie Saoudite 2021, l’attitude du Britannique envers le président de la FIA en disait long.

À peine descendu de la pesée après la course, Hamilton s’est vu approché par Ben Sulayem pour une poignée de main. Cependant, le langage corporel du Britannique en disait long sur son empressement à passer à autre chose.

La superstar des Flèches d’Argent a à peine tendu la main, sans même accorder un regard au président de la FIA. Il a ensuite frôlé l’épaule de Ben Sulayem avant d’échanger des politesses bien plus chaleureuses avec son rival Max Verstappen de Red Bull.

Cette froideur n’est pas une surprise, tant la relation entre Hamilton et Ben Sulayem est connue pour être peu cordiale. En mars dernier, Hamilton avait publiquement critiqué Ben Sulayem suite à l’ouverture d’une enquête de la FIA visant Toto Wolff, directeur de l’écurie Mercedes, et sa femme Susie.

Accusés d’avoir divulgué des informations confidentielles, les époux Wolff avaient finalement été blanchis sans explication.

4 thoughts on “Hamilton snobe ouvertement Ben Sulayem après le GP de Grande-Bretagne

  1. son visage se fige…. avec le casque sur le nez j’aimerais bien savoir comment on peut repérer ce genre de détail

    1. C’est pertinent ! On a corrigé. Cela dit, sur certaines photos, on voit des détails de son visage mais on ne dispose pas des droits pour la publier 😉

  2. Ce type (Ben machin) est un gros parvenu et un faux cul…
    Il croit que son fric fait de lui un Dieu…s’il savait !
    Bien joué Ham

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