Lawrence Stroll voit dans les tensions chez Red Bull une opportunité : attirer Max Verstappen chez Aston Martin. L’écurie britannique se positionne comme une alternative séduisante
Un murmure a récemment parcouru le paddock de la F1: et si Max Verstappen rejoignait Aston Martin en 2025 ? Cette éventualité, exposée par le journaliste David Cooper de Motorsport, a déclenché une avalanche de spéculations et d’analyses. Si elle se confirmait, cela pourrait rebattre les cartes de la F1 et relancer le mercato et faire couler beaucoup d’encre.
On peut affirmer sans risque de se tromper que l’atmosphère chez Red Bull n’est pas toujours au beau fixe. Les tensions entre Verstappen et Horner, exacerbées par les déclarations de Marko, ont créé un climat d’incertitude autour du champion du monde. Malgré sa domination sans partage sur la piste, Verstappen a récemment émis des doutes sur son avenir au sein de l’écurie autrichienne.
C’est dans ce contexte de chaos que Lawrence Stroll souhaite tirer son épingle du jeu. Le milliardaire canadien, propriétaire de l’écurie Aston Martin, n’a jamais caché ses ambitions pour son équipe. Après avoir attiré Fernando Alonso, il rêve désormais de faire venir Max Verstappen, rien que cela ! L’écurie britannique met en avant un projet solide, avec des infrastructures en développement (nouvelles installations, soufflerie) et un moteur Honda familier au Néerlandais.
Aston Martin pourrait offrir à Verstappen un statut de leader incontesté, sans la pression d’un jeune talent comme chez Mercedes avec Antonelli. L’écurie lui garantirait également un environnement stable et des moyens conséquents pour viser le titre mondial.
L’attrait d’Aston Martin réside aussi dans son potentiel à long terme. En 2026, avec le changement de réglementation, l’écurie pourrait devenir un véritable prétendant au titre. Verstappen, avec sa soif de victoire, pourrait être séduit par l’idée de construire une équipe championne.
Cependant, plusieurs obstacles subsistent. Le premier concerne le contrat de Verstappen avec Red Bull, qui court jusqu’en 2028. Le Néerlandais dispose d’une clause de libération, mais son activation pourrait se révéler compliquée et coûteuse. L’avenir d’Alonso est également un élément à prendre en compte. Son contrat se termine fin 2024 et son départ libérerait un siège convoité.
Si ce rêve fou devenait réalité, cela pourrait bouleverser le paysage de la F1. D’un côté, un pilote au talent exceptionnel en quête de nouveaux défis. De l’autre, une écurie ambitieuse qui se donne les moyens de ses ambitions. Mais entre rêve et réalité, il y a un pas à franchir. Le contrat de Verstappen avec Red Bull, l’avenir d’Alonso et les implications financières d’un tel transfert constituent autant d’obstacles à surmonter.
Absolument très bien. Dès son arrivé AM va gagner 4 championnats de suite, Que oui, que oui.