Vous pensiez que Christian Horner avait sauver sa tête ? Hé bien non ! Les poids lourds de l’entreprise prennent les rênes pour décider du sort du directeur de Red Bull
L’écurie Red Bull est secouée depuis plus d’un mois par l’affaire Horner. Le directeur, blanchi par une enquête interne, pourrait néanmoins voir son avenir compromis, selon des informations de Motorsport.com.
Le Grand Prix d’Arabie Saoudite a illustré la tension persistante au sein de l’équipe. Helmut Marko a évoqué une possible suspension, tandis que Max Verstappen a lié son avenir à celui de l’Autrichien. Jos Verstappen a quant à lui enfoncé le clou en jugeant le maintien de Horner « une mauvaise chose ».
Oliver Mintzlaff, homme fort de Red Bull, a tenté d’apaiser les tensions. Il a appelé à la discrétion et à l’unité, soulignant l’importance de ne pas laver son linge sale en public. Cependant, la présence inhabituelle de Franz Watzlawick, directeur du secteur boissons de Red Bull, à Djeddah lors du dernier Grand Prix, montre que la situation est loin d’être sous contrôle.
En toile de fond, des inquiétudes grandissent au sein de la branche autrichienne de Red Bull. Les répercussions négatives de l’affaire sur l’image de la marque et le risque de perdre des sponsors importants pèsent lourd dans la balance.
Le marché américain, en particulier, cristallise les tensions. Le risque de voir des partenaires comme Ford et Honda se détourner de Red Bull pourrait contraindre Chalerm Yoovidhya, l’actionnaire majoritaire thaïlandais, à prendre des mesures drastiques.
La plaignante qui a accusé Horner n’a pas encore dit son dernier mot. Elle envisage de s’exprimer publiquement, ce qui pourrait ajouter de l’huile sur le feu et précipiter la chute du directeur d’équipe.
Ralf Schumacher, ancien pilote de F1 et consultant avisé, voit mal comment Horner pourrait s’en sortir. Il estime que la position du Britannique est devenue intenable et prédit sa démission prochaine.
L’avenir de Red Bull est désormais entre les mains de Chalerm Yoovidhya. La décision qu’il prendra lors de la réunion cruciale à Dubaï aura des repercussions majeures sur l’écurie et son avenir en Formule 1.
Assez minable cette affaire, non ?
c’est Horner qui est minable parce qu’il ne prend pas ses responsabilité … il a fauté et au lieu de s’excuser, il a préféré le déni et s’accrocher à son poste au lieu de penser à la marque RB … il pouvait rester pro, il avait tout pour lui, il était sur une trajectoire de succès depuis 20 ans et il va harceler moralement et sexuellement sa subordonnée tous les jours jusqu’à pas d’heures … alors qu’il pouvait se payer une escort si Geri ne lui suffisait pas
en attendant il a fait une victime et a bousillé l’image de RB team F1 et RB la marque