Le père de Max Verstappen a ignoré Sergio Perez après sa victoire au GP d’Arabie Saoudite et a depuis fait une attaque à peine voilée contre le pilote mexicain
Jos Verstappen n’a pas hésité à s’en prendre à Sergio Perez, suite à la victoire du Mexicain sur son fils Max au drapeau à damier du Grand Prix d’Arabie Saoudite.
Verstappen, leader du championnat, a commencé la course en 15e position sur la grille de départ après un problème mécanique lors des qualifications. Mais à la mi-course, il était déjà deuxième, démontrant la puissance de la RB19 cette saison.
Le Néerlandais a également été aidé par une période de voiture de sécurité qui a forcé le peloton à se regrouper alors qu’il occupait la quatrième place. Il n’a ensuite fait qu’une bouchée de George Russell et de Fernando Alonso et s’est rapidement retrouvé aux trousses de son coéquipier.
Perez a bien réussi à maintenir Verstappen à distance pour remporter la course, tandis que le champion en titre a arraché le point supplémentaire pour le tour le plus rapide à la fin de l’épreuve. Le personnel de Red Bull était en liesse avec Perez lorsqu’il est sorti de sa voiture, mais un homme s’est distingué par son indifférence.
Alors que ceux qui l’entouraient sautaient de joie avec des sourires radieux, Jos Verstappen est resté de marbre et ne voulait manifestement pas se joindre à ceux qui célébraient le succès de Perez. A présent, il a suggéré que c’était seulement la malchance de son fils qui a donné au Mexicain l’opportunité de gagner.
Comme le rapporte Formule1.nl, il a déclaré à propos du tour le plus rapide de son fils : « Je savais qu’il allait le faire. C’est bien, n’est-ce pas ? Comme ça, il restera au moins leader du championnat. »
« Bien sûr, nous voulons tous gagner, mais cela n’a pas été possible aujourd’hui. La marge était trop faible pour cela. Je pense que [Perez] n’a pas souvent l’occasion de le faire. Il le sait aussi et il en a profité pour gagner. »
« La chance a joué contre nous en qualifications. La malchance, je n’en parlerai pas. Nous savons ce que c’est. Mais à part cela, Max peut aisément décrocher la pole position. Ensuite, la course est un peu plus facile. »
« En effet, nous avions déjà prévu qu’il serait difficile de faire des remontées ici. C’est un circuit avec de longs virages, il est donc difficile d’y faire la différence. Nous avons besoin de circuits plus difficiles et de plus de virages. »
Parlant des voitures de Red Bull, Verstappen Sr a ajouté : « Il semble que nous serons dominants. Nous avons une très bonne voiture. Si vous avez vu avec quelle facilité ils sont partis – une seconde plus vite. Est-ce que les autres pourront les dépasser cette année ? Je n’en sais rien. Mais ce n’est pas non plus comme si nous restions immobiles. Nous apportons également des mises à jour. »
Jos Verstappen incapable de se réjouir de la victoire de Perez lors du #SaudiArabianGP de #F1pic.twitter.com/s6tRQ37yKD
— F1ACTU.COM (@actu_f1) March 20, 2023
Finalement le père est largement aussi désagréable que son fils….pour parler poliment ?
Jos a semble-t-il oublié qu’il avait toute sa carrière été lui même un pilote très moyen, et qu’il n’a aucune légitimité quand il dit « on » en parlant de la F1 construite par Red Bull, ou même l’équipe en elle-même. Il n’est que le « père de » et ferait mieux de rester à sa place.
tel père tel fils. ils sont tous deux très arrogants.
Eh oui, la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre.
Jos a toujours été un gros c.. mais depuis que son fils gagne il vit la carrière qu’il n’a jamais eu par procuration. pathétique !
Cet homme est pétillant de bonne humeur et nous partage avec humilité la chance d’être et d’avoir été. Son fils ne peut que s’améliorer à ses côtés.
J’adore votre ironie
Il est resté avec l’orgueil d’un pilote qui ne partage que leurs bons moments et l’humilité il ne connaît pas le sens
tel père, tel fils, ce jos pense que la f1 leur appartient, Perez a le droit de gagner et il a annoncé les couleurs. il l’a dit l’année dernière qu’en 2023, il ne va pas se laisser faire, jos est aigri, il continue de ruminer sa defaite à lui lorsqu’ il pilotait.