L’instance chargée d’organiser et de promouvoir le Grand Prix de France depuis 2018 va être officiellement liquidée dans les prochains jours.
Le Grand Prix de France de Formule 1 a été retiré du calendrier 2023 de la F1 et cela avait été annoncé cet été. Il restait très peu d’espoir de revoir le Paul Ricard accueillir une course lors des prochaines années.
Bernie Ecclestone était l’un des artisans du retour de la Formule 1 en France. Mais de toute évidence, les nouveaux propriétaires n’apprécient pas le circuit car Stefano Domenicali a clairement indiqué que le site ne faisait pas partie de ses plans. Et ceci, malgré la ténacité de son directeur général, Eric Boullier et l’engagement de Christian Estrosi. Ils étaient même prêts à accepter un système de rotation.
L’annulation du Grand Prix de Chine ne changera rien à l’histoire car le Groupement d’Intérêt Public du GP de France, organisme en charge de l’organisation de l’événement, va officiellement être dissous cette semaine
« C’est la fin d’une histoire. Dommage que cela se termine avec tous les efforts faits pour que cette dernière édition se déroule parfaitement. Pendant cinq ans, la région Sud a permis à cette épreuve de revenir au calendrier et de permettre à notre pays de figurer à nouveau au plus niveau », regrette Eric Boullier cité par L’Équipe.
Beaucoup de fans espéraient revoir les voiture de F1 au Castellet. D’un point de vue objectif, c’était un circuit intéressant – avec des virages célèbres comme Signes et Le Beausset – mais qui avait la fâcheuse habitude de produire des courses ennuyeuses. Mais comme il n’y a plus de promoteur, il est difficile d’envisager une course en France à court ou à moyen terme.
Le GIP du GP de France, organisme en charge de l'organisation de l’événement, va officiellement être dissous cette semaine ❌??
— Secteur F1 (@Secteur_F1) December 11, 2022
Boullier: "Dommage que cela se termine avec tous les efforts faits pour que cette dernière édition se déroule parfaitement."
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comme les dirigeants de la F1 sont sollicités par des pays arabes riches les anciens contrats qui rapportent moins sont écartés au profit nouveaux