Mohamed Ben Sulayem, président de la FIA, est convaincu que les accusations à son encontre étaient des « attaques contre la FIA » et son leadership
Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a réagi avec véhémence aux accusations récentes portées contre lui, les qualifiant de « fuites malveillantes » visant à « déstabiliser » et « affaiblir » l’organisation.
Dans une lettre adressée aux membres de la FIA et relayée par RacingNews365, Ben Sulayem rejette fermement les allégations d’ingérence dans la sanction de Fernando Alonso en 2023 et sur l’homologation du Grand Prix de Las Vegas. Il souligne que le Comité d’éthique de la FIA a conclu qu’il n’y avait « aucune preuve d’interférence » de sa part.
Ben Sulayem accuse ses détracteurs de lancer des « attaques à caractère personnel » et de diffuser des « informations confidentielles et sensibles » pour ternir sa réputation et celle de la FIA. Il affirme que ces agissements visent à « saper les fondements de notre fédération » et à « attaquer l’essence même de la FIA ».
Malgré ces accusations, Ben Sulayem se montre déterminé à poursuivre son mandat à la tête de la FIA. Il se dit « plus fort et plus décidé que jamais » à garantir un environnement de « transparence, responsabilité et intégrité infaillible » au sein de l’organisation.
Le président de la FIA réaffirme son engagement à « rester fidèle à ses obligations » et à « travailler sans relâche pour le bien du sport automobile ». Il souligne que la FIA continuera à œuvrer pour « promouvoir la sécurité, l’équité et l’inclusion dans toutes ses compétitions ».
La sortie de Ben Sulayem sonne comme un avertissement à ses opposants. Il refuse de se laisser intimider par les attaques et promet de continuer à défendre les valeurs et les intérêts de la FIA.
Si Ben Sulayem a été blanchi par le Comité d’éthique de la FIA, l’origine des fuites et les motivations des personnes derrière les accusations restent à éclaircir. Il reste à voir si cet épisode aura un impact durable sur son leadership et sur la FIA. Cependant, une chose est sûre : le président de la FIA est déterminé à faire face à ses détracteurs et à poursuivre son programme de réformes pour l’organisation.
