Wolff : « Hamilton était complètement d’accord avec Mercedes ».

Toto Wolff a indiqué que Lewis Hamilton et Mercedes étaient sur la même longueur d’onde dans les négociations contractuelles

L’écurie allemande n’a pas pu offrir à son septuple champion du monde une augmentation de salaire en raison de la situation économique mondiale difficile et le Britannique a été très compréhensif à cet égard, suggère maintenant le patron de l’équipe Mercedes.

« Hamilton était tout à fait d’accord avec Mercedes sur la situation. Il y a actuellement une incertitude dans le monde. Cette incertitude peut affecter nos profits, ainsi que les droits de la télévision et les revenus des sponsors », a déclaré Wolff selon RTL, soulignant que le pilote n’avait aucun problème avec le fait qu’il ne recevait pas d’augmentation de salaire en plus des 40 millions d’euros estimés qu’il gagne déjà sur une base annuelle.

Wolff explique pourquoi Mercedes n’est pas prête à faire un investissement encore plus important. Ils auraient pu perdre les services du pilote, aujourd’hui âgé de 36 ans, s’il n’avait pas accepté les exigences de son employeur. Wolff : « Daimler et Mercedes font également de grands pas vers la mobilité électrique, ce qui implique des investissements substantiels. Nous vivons dans une réalité financière qui est très différente de celle d’il y a quelques années ».

L’Autrichien a également évoqué le fait que Hamilton ne s’est engagé auprès de Mercedes que pour un an : « Nous avons simplement estimé que pour l’instant, il nous suffisait de signer un contrat pour 2021 pour faire avancer les négociations. Ainsi, en 2021, cette fois plus tôt, nous pourrons parler de l’avenir ».

Wolff ne veut pas que la situation se reproduise à nouveau la saison prochaine. L’un des plus grands obstacles aux négociations contractuelles de cette année, la distance, pourrait tomber après la saison prochaine du fait d’un recul espéré de la pandémie.

« Ce n’est pas quelque chose que nous voulons faire brièvement entre Noël et la fin janvier par vidéoconférence. Le fait que nous ne puissions pas nous voir a rendu les négociations du contrat particulièrement difficiles ».

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