Lewis Hamilton devra rejoindre la Scuderia Ferrari sans son armée chez Mercedes à cause d’une clause sur son contrat, à moins que …
Le 1er février 2024, le monde de la Formule 1 a été secoué par l’annonce du transfert de Lewis Hamilton chez Ferrari pour la saison 2025. Ce méga-transfert, qui s’annonce comme l’un des plus retentissants de l’histoire de la F1, est loin d’être un simple changement d’écurie. Il soulève de nombreuses questions et implications tant pour le pilote britannique que pour l’écurie italienne et le paysage de la F1 en général.
Piloter pour Ferrari est un rêve que Lewis Hamilton nourrit depuis son enfance. Après 11 années chez Mercedes, ponctuées de 7 titres de champion du monde et d’une collaboration fructueuse avec Toto Wolff, le Britannique a décidé de relever un nouveau défi. Rejoindre la Scuderia, l’écurie la plus prestigieuse et légendaire de la F1, représente une nouvelle étape dans sa carrière et une chance unique de marquer l’histoire de ce sport.
Pour s’attacher les services d’Hamilton, Ferrari a misé gros. Un contrat de deux ans d’une valeur estimée à plus de 100 millions d’euros a été signé, confirmant l’importance de ce transfert pour l’écurie italienne. Ce montant record témoigne de la confiance que Ferrari place en Hamilton pour lui permettre de renouer avec le succès et de conquérir le titre suprême qui lui échappe depuis 2008.
Cependant, un élément du contrat d’Hamilton avec Mercedes pourrait ralentir son adaptation chez Ferrari. Il s’agit d’une clause de « non-prédation » lui interdisant de recruter des ingénieurs de son ancienne équipe. Cette clause, bien que restrictive, vise à protéger le savoir-faire et les secrets techniques de chaque écurie. Le Britannique devra s’appuyer sur les talents existants chez Maranello, tisser de nouveaux liens et s’adapter à une nouvelle méthodologie de travail pour combler ce vide et espérer rivaliser avec les meilleurs.
La présence de cette clause pourrait expliquer l’absence de certains transferts attendus, comme l »explique PlanetF1. Des bruits couraient sur la possibilité de voir Peter « Bono » Bonnington, l’ingénieur de course historique d’Hamilton, et Andrew Shovlin, directeur technique de piste chez Mercedes, le suivre chez Ferrari. Ces transferts sont désormais peu probables à moins d’un accord spécifique avec Mercedes, car Hamilton ne peut légalement les solliciter directement.
Cette nouvelle aventure est un pari osé pour l’écurie italienne, qui espère que le talent et l’expérience du Britannique lui permettront de retrouver le chemin du succès. Mais ce pari est également assorti de risques. La clause « anti-prédation » et l’adaptation d’Hamilton à sa nouvelle équipe seront des facteurs clés à surveiller.
La saison 2025 s’annonce d’ores et déjà comme l’une des plus excitantes de l’histoire, avec un duel Hamilton-Verstappen qui promet d’être électrique.